A Gargenville, et sans doute en raison d’une chaleur écrasante, les piétons se font rares, même en bord de Seine, si ce n'est le propriétaire sympathique d'un labrador lui-même très liant, bien qu'il ait été abandonné en forêt avec une patte cassée - et sauvé donc, par l'homme sympathique.
Sur l'île de Rangiport, le routier repéré par Jean Rolin comme déjà vide de clients l’est d'autant plus qu'il est fermé pour travaux. Le parking accueille néanmoins une remorque qui semble paradoxalement abandonnée et en parfait état. Un peu plus loin vers Epône, l’hôtel incendié est toujours à vendre, avis aux amateurs.
Les cheminées de la centrale de Porcheville pointent leur nez à chaque ouverture vers l'horizon à l’ouest.
Impossible de rejoindre Mantes à pied comme prévu, le chemin de halage n’est presque plus praticable, barré de ronces et transformé en décharge linéaire bien déprimante. J’ai fait demi-tour, évité l’insolation à la station-service du rond-point, au débouché côté Mézières, et repris un train.